Article 36 Sick Leave

Article 36: Sick Leave

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36.01 The purpose of the University’s sick leave program is to compensate for the loss of earnings of any employee who is not able to perform his/her normal duties because of sickness or accident other than an occupational injury. The cost of the program is borne entirely by the University.

36.02 Employees who become disabled due to illness or injury are entitled to paid sick leaves, for periods of up to four (4) months, paid at the equivalent rate the employees would have received had they remained at work.

36.03 When disability continues for more than four (4) months, employees are protected by the provisions of the Long Term Disability Insurance Plan.

36.04 Successive periods of disability due to the same or related causes, and separated by a return to work of three (3) months or less, are considered to be part of the same period of disability, which means that the benefits will be paid for no more than a total of four (4) months.

36.05 Successive periods of disability that are entirely unrelated in cause are also considered to be part of the same period of disability if they are separated by a return to work of one (1) month or less.

36.06 Employees receiving paid sick leave must provide, upon request, satisfactory medical proof of disability.

36.07 Disability periods of four (4) months or less have no effect on an employee’s participation in or eligibility for any other benefits under Article 37 of this agreement.

36.08 All rights and privileges granted by this agreement shall continue to apply during the periods of paid sick leaves provided for in clause 36.02.

36.09 In the event of any absence, the employee has the responsibility to inform his/her immediate supervisor as soon as possible.

36.10 Upon receipt of a medical certificate from the attending physician, confirming that the employee is able to resume his/her regular work, the University shall reinstate the employee into the position he/she occupied at the beginning of the sick leave. The position that becomes unoccupied due to a sick leave provided for in the present article is not considered as being a vacant position.

36.11 a) If an employee in a permanent position is on sick leave for more than three (3) years, the parties agree to post a position unless a medical practitioner certifies that a remission from the illness is a possibility.
b) In this case, if the employee on sick leave returns, he/she is treated as if his/her position had been abolished and the procedures provided for in articles 14 and 15 apply.
c) The employee who is acting as a replacement in a position affected by subsection 36.11 a) may be granted the position without posting so long as the employee meets all of the requirements of the position. Otherwise, the position is posted and the employee is laid off.

36.12 Duty to Accommodate
The University undertakes to put reasonable accommodation measures into place for an employee who becomes disabled, either temporarily or permanently, due to either an occupational or non-occupational illness or injury to the extent of undue hardship. First, consideration will be given to modifying his/her position if the duties of this position can be modified to allow the employee to perform the functions involved.
However, in cases where the employee’s position cannot be modified to achieve the foregoing, the University will make every effort to then place the employee in another position in the bargaining unit, where such a vacancy exists, without loss of salary or benefits.
Should no suitable position be available in the bargaining unit, the University shall place the employee in another available position at the University without loss of salary or benefits.
With respect to the temporary employee, the duty to accommodate will conclude at the termination date of the assignment subject to the right of the employee to be placed on the recall list or to obtain a position as provided for under the Collective Agreement.

Article 36 : Congé de maladie

36.01 Le but du programme offert par l’Université en matière de congé de maladie est de compenser la perte de revenu subie par toute personne salariée qui n’est pas en mesure d’accomplir ses tâches normales en raison d’une maladie ou d’un accident non reliés au travail. Le coût de ce programme est assumé entièrement par l’Université.

36.02 Les personnes salariées qui sont incapables de travailler en raison d’une maladie ou de blessures ont droit à des congés de maladie, pour des périodes maximales de quatre (4) mois, rémunérés au même taux de salaire que celui auquel elles auraient eu droit si elles étaient restées au travail.

36.03 Lorsque l’invalidité dure plus de quatre (4) mois, les personnes salariées sont protégées par les dispositions du Régime d’assurance en cas d’invalidité prolongée.

36.04 Les périodes successives d’invalidité dues aux mêmes causes ou à des causes connexes, et séparées par un retour au travail de trois (3) mois ou moins, sont réputées faire partie de la même période d’invalidité, c’est-à-dire que les prestations ne sont versées que pendant quatre (4) mois
au maximum.

36.05 Les périodes successives d’invalidité dont les causes n’ont aucun lien entre elles sont également réputées faire partie de la même période d’invalidité si elles sont séparées par un retour au travail d’un (1) mois ou moins.

36.06 Les personnes salariées qui bénéficient d’un congé de maladie rémunéré devront, sur demande, fournir une preuve médicale satisfaisante de leur invalidité.

36.07 Les périodes d’invalidité de quatre (4) mois ou moins n’ont aucune conséquence sur la participation ou l’admissibilité des personnes salariées aux avantages prévus à l’article 37 de la présente convention.

36.08 Tous les droits et privilèges conférés par la présente convention demeurent applicables durant les périodes de congé de maladie prévues à la clause 36.02.

36.09 Pour toute absence, la personne salariée a la responsabilité d’informer son supérieur immédiat ou sa supérieure immédiate le plus tôt possible.

36.10 Sur réception d’un certificat médical du médecin traitant, attestant que la personne salariée est apte à reprendre son travail normal, l’Université réintègre la personne salariée dans le poste
qu’elle occupait au début de son congé de maladie. Le poste qui devient inoccupé en raison d’un congé de maladie ou accident prévu au présent article n’est pas considéré comme un poste vacant.

36.11 a) Si une personne salariée détentrice d’un poste permanent est en congé de maladie pendant plus de trois (3) ans, les parties conviennent d’afficher le poste, sauf si un médecin atteste de la possibilité d’une rémission.

b) Dans ce cas, si la personne salariée en congé de maladie reprend son travail, elle est traitée comme si son poste avait été aboli et les procédures prévues aux articles 14 et 15 s’appliquent.

c) La personne salariée qui effectue un remplacement sur un poste visé par l’alinéa 36.11 a) peut se voir accorder le poste sans affichage à condition de satisfaire à toutes les exigences du poste, sinon le poste est affiché et la personne salariée est mise-à-pied.

36.12 Mesures d’accommodement
L’Université s’engage à mettre en place des mesures d’accommodement raisonnable pour toute personne salariée qui subit une invalidité, temporaire ou permanente, en raison d’une blessure ou d’une maladie dans la mesure où cela n’impose pas de contrainte excessive. Tout d’abord,
l’on envisagera de modifier son poste, si les tâches du poste s’y prêtent pour permettre à la personne salariée de s’acquitter des fonctions en question.

Toutefois, si le poste d’une personne salariée ne peut se modifier aux termes mentionnés cidessus, l’Université devra, dans la mesure du possible, placer la personne salariée à un autre poste dans l’unité de négociation, si un tel poste est vacant et ce, sans perte de salaire, ni d’avantages sociaux.

Si dans l’unité de négociation aucun poste convenable n’est disponible, l’Université doit placer la personne salariée à un autre poste vacant dans l’Université, sans perte de salaire, ni d’avantages sociaux.

En ce qui a trait à une personne salariée temporaire, l’obligation d’accommodement cesse à la date à laquelle l’affectation prend fin, sous réserve du droit de la personne salariée d’être inscrite sur la liste de rappel ou d’obtenir un poste en vertu de la convention collective.

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